H-39(France)

Ce char reste la version amélioré du H35 char du meme type qui lors de la bataille de France sera capturez par les Allemands et leurs servira aussi de char secondaire sur les divers front..Ont raconte que lors de la campagne de Yougoslavie les Partisans de TITO capture un H-39 est en ferons leurs char favori et vont en faire leurs chars jusqu'en 1957...La vitesse faible du H39(35 Km/h)pénalise l'armée mais son blindage de 4 cm d'épaisseur en fait un concurrent sérieux,armé d'une mitrailleuse de 7.5mm et d'un canon de 37 mm ce H-39 fera vite les frais d'une guerre éclair..

Merci Franck pour ce post,
Utilisé le plus souvent dans des unités mécanisées mobiles, le char Hotchkiss, malgré ses nombreux défauts, se comporta assez brillamment pendant la bataille de France, en particulier du fait de la valeur et de l'abnégation de ses équipages et, dans une moindre mesure, grâce à sa protection, qui en faisait un objectif difficile à détruire pour les panzers de 1940.
On peut citer parmi les nombreux faits d'armes, le combat de Flavion, le 15 mai 1940, où les 150 chars de la 1re s'opposèrent aux 718 chars du 39e PanzerKorps du général Hoth, sans aucune aide, malmenant plusieurs unités allemandes, avant de céder sous le nombre, mais aussi le combat de Stonne de la 3e DCR et de la 3e division d'infanterie motorisée, commencé le même jour, et qui se poursuivit jusqu'au 26 mai, coûtant à la 3e DCR la moitié de ses équipages de chars, mais elle empêcha toute progression d'abord des deux Panzerdivisions du 19e Panzerkorps, puis des trois divisions d'infanterie du 6e Armeekorps, infligeant de très lourdes pertes aux unités allemandes.
slts

gustite a écrit:

Merci Franck pour ce post,
Utilisé le plus souvent dans des unités mécanisées mobiles, le char Hotchkiss, malgré ses nombreux défauts, se comporta assez brillamment pendant la bataille de France, en particulier du fait de la valeur et de l'abnégation de ses équipages et, dans une moindre mesure, grâce à sa protection, qui en faisait un objectif difficile à détruire pour les panzers de 1940.
On peut citer parmi les nombreux faits d'armes, le combat de Flavion, le 15 mai 1940, où les 150 chars de la 1re s'opposèrent aux 718 chars du 39e PanzerKorps du général Hoth, sans aucune aide, malmenant plusieurs unités allemandes, avant de céder sous le nombre, mais aussi le combat de Stonne de la 3e DCR et de la 3e division d'infanterie motorisée, commencé le même jour, et qui se poursuivit jusqu'au 26 mai, coûtant à la 3e DCR la moitié de ses équipages de chars, mais elle empêcha toute progression d'abord des deux Panzerdivisions du 19e Panzerkorps, puis des trois divisions d'infanterie du 6e Armeekorps, infligeant de très lourdes pertes aux unités allemandes.
slts

Ce qui reste dommage c'est que ces action de la cavalerie Française non pas pus allez jusqu'aux bout car je suis persuadez que cela aurait duré un peu plus longtemps

Oui avec un soutien aérien et l'artillerie combiné...
Bref au niveau stratégique on été en retard ! Mais les soldats eux ont été vaillants !
slts

gustite a écrit:

Oui avec un soutien aérien et l'artillerie combiné...
Bref au niveau stratégique on été en retard !

Citation :

Mais les soldats eux ont été vaillants !
slts

Oui et je respecte leurs courage

Tsahal vas en récupérez plus d'une vingtaine et l'utilisé jusqu'à fin 1950..

H-39 au musée militaire de Yad-la Shyrion:

Made in France! belle longévité

Yoni Bar Ilan a écrit:

Ce qui reste dommage c'est que ces action de la cavalerie Française non pas pus allez jusqu'aux bout car je suis persuadez que cela aurait duré un peu plus longtemps

En 1940, les chars français font partie de l'Infanterie.

Le Somua S-35 qui équipait les régiments de cavalerie était officiellement désigné AutoMitrailleuse de Combat.
Quant aux Hotchkiss de la cavalerie, ils n'ont été adoptés qu"en raison du déficit de S-35 (limite budgétaire et capacité de production)

Tout a fait Antoine, du reste, je me demande si l'état major Français avait était plus pragmatique et laissé les régiment plus indépendant, la France aurait du lorgné sur quelque victoire de plus, le fait d'inclure la cavalerie ou quelqu’un de ses éléments, a du perturber certain chef militaire Français.